Créer sa boîte sans business plan, Mythe ou réalité?
comment creer sa boite sans business plan

Est-il possible de créer sa boîte sans business plan ? Donc, Ci-dessous ce que vous devez découvrir.

Créer votre entreprise sans business plan:

Créer votre entreprise sans business plan, Donc, Fantastique vous allez me dire ! L’idée et le titre sont tape à l’œil… Je vous laisse découvrir l’article, relayé par Capital.fr avant de débriefer…

  1. Une étape souvent dissuasive
  2. Identifier un besoin
  3. Tester son concept
  4. Analyser sa propre sensibilité
  5. Mon avis

Créer sa boîte sans business plan© REA

“L’Agence pour la création d’entreprise (APCE) présente une méthodologie en vogue au Canada pour faciliter la création d’entreprise. Objectif : supprimer l’étape souvent dissuasive du “business plan”.

Trop complexe, trop fastidieux, trop rigide… Au placard le bon vieux “business plan”. “Ce document né dans les années 70 retarde les projets et bride la créativité des entrepreneurs”, assure Claude Ananou, enseignant à HEC Montréal et créateur d’une méthode alternative, nommée SynOpp.

Déjà utilisée depuis deux ans au Québec, cette technique a déjà permis à 30.000 porteurs de projet canadiens de se lancer. Dans la même veine, le “lean start up” (démarrage agile) se développe, notamment aux Etats-Unis ou en Suisse.  Créer sa boîte sans business plan.

Pas question de théoriser sur un papier le développement hypothétique d’une entreprise ou de mener une étude de marché comme dans un plan d’affaires classique. “Le travail consiste à dessiner l’ADN du projet”, explique Claude Ananou.

Créer sa boîte sans business plan, Identifier un besoin:

Pour bâtir sa méthodologie, donc, ce serial-entrepreneur est parti d’un constat : “les plus grands succès tels Microsoft, Facebook ou Google ne sont pas nés d’un business plan pré-établi mais d’une intuition”. Dans la méthode SynOpp, tout commence donc par identifier un besoin, puis la solution pour y répondre. Pour réussir, le porteur de projet doit bien sûr analyser le marché, mais surtout, trouver “un avantage prépondérant” par rapport à la concurrence.

Tester son concept:

Pour valider ces hypothèses, la seconde étape consiste à identifier les “adeptes” – “ceux qui ont ce besoin de façon exacerbée”, précise Claude Ananou – afin de valider son projet en grandeur nature. “Il faut tester sa formule comme une cellule-souche. Avant de monter un restaurant, par exemple, il s’agit de le valider auprès de vos amis fins gourmets”, détaille Claude Ananou. En fonction de l’accueil réservé, le créateur doit alors renoncer ou adapter sa solution.

Analyser sa propre sensibilité:

Avant de faire le grand saut, une phase d’introspection s’impose. Elle consiste à mesurer la sensibilité aux pertes du futur entrepreneur. “Il doit s’interroger : “qu’est-ce que je suis prêt à perdre sur le plan financier, personnel, réputation, estime de soi ?”, recommande Claude Ananou. L’idée est de vérifier que le créateur est lui-même en phase avec son projet, afin de limiter les risques d’échec. Une fois le concept verrouillé, reste le plus délicat : convaincre les banquiers de renoncer au sacro-saint “business plan”. Plus corsé…

© Capital.fr”

Alors vos impressions ?

Personnellement je crois qu’une fois de plus, on essaie juste de “favoriser le déclic et l’envie d’entreprendre” mais au fond rien ne change et rien NE PEUT CHANGER.

– > le fameux business plan n’est que la résultante d’un travail préparatoire visant à valider l’envie du porteur de projet, l’adéquation profil  / projet, la valeur ajoutée de l’idée d’entreprendre et le plan d’action pour assurer son développement commercial …

Au risque de me répéter, cette étape  est toujours indispensable. Pire encore, une fois le projet lancé, cette étape continue car un bon chef d’entreprise est en veille permanente et fais évoluer son concept avec le marché.

A vos tablettes ! Appelez-le comme vous voulez : business plan, plan d’affaires, notes de réflexion sur le besoin et le concept, …. mais qu’importe il n’est pas prêt de mourir !

Est-ce qu’avec un bon business plan on aurait pour autant de la facilité à avoir plus de clients et plus d’argent pour démarrer ? Ah ah ! Ce n’est pas aussi simple : je vous explique ça en vidéo !

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Créer sa boîte sans business plan, Mythe ou réalité?

Antonella

Antonella VILAND, fondatrice de macreationdentreprise.fr en 2008 est une professionnelle de l’accompagnement des entrepreneurs depuis plus de 17 ans. Diplômée d’un Master Diagnostic d’Entreprise à l’IAE de Lyon, elle est intervenue auprès de milliers de créateurs. Elle a également conçu des dizaines de programmes de formation et formé des formateurs à des outils clés dans les CCI, les BGE et BPI/France Entrepreneur/APCE devenue BPI-France, … On l’apprécie pour sa capacité à rendre simple tout ce qui semble complexe et pour toute l’énergie qu’elle sait nous transmettre. Elle et son équipe vous accompagne à définir le bon projet pour vous, à le bâtir sérieusement, à rédiger un business plan en béton, à mettre en oeuvre votre projet avec succès sur le plan commercial et marketing, à obtenir toutes les aides existantes et à vous sentir enfin épanoui dans votre nouvelle vie !

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